RPG ne vont pas sans SURVIVAL HORROR!!

et oui, tout fan de mangas et de rPG aime forcément les survival horror :face:

qu'est -ce qu'un survival ?
Les survival horror sont des jeux vidéo où le joueur doit survivre en milieu hostile, lié au genre horrifique.
Genre de jeu inventé par Frédéric Raynal avec Alone In The Dark puis perfectionné par Capcom avec la série des Resident Evil (BIO HAZARD). Ce genre mélange les principes de base des jeux d'aventure avec celui des films d'horreur : votre but est donc de chercher des objets, des clefs, d'explorer un environnement, sans vous faire bouffer (littéralement) par la horde de monstres à vos trousses.


j'ai donc décidé de faire un petit topo là-dessus car j'adore frissoner dans ma chambre pendant un orage
je vais faire ça au fur et à mesure car j'ai cours, faut pas croire!!!

bon alors, preum'z une liste de ces jeux, principalement ceux que je connais, vous aurez qu'à rajouter!!
BIO HAZARD
SILENT HILL
PROJECT ZERO
OBSCURE
ALONE INTHE DARK
DINO CRISIS
CLOCK TOWER
SIREN
ROSE
GHOST HUNTER

voilou et on continue...
Alone in the Dark, Resident Evil, Silent Hill, Project Zero, autant de softs qui ont marqué l’histoire du jeu vidéo, autant de titres se regroupant sous une seule et unique bannière : Le Survival-Horror.
Mais qu’est-ce que le Survivor-horror ? Comment est-il né ? Comment a-t-il évolué ? Que nous promet-il pour l’avenir ?

Naissance d’un genre

Le Survival Horror, comme son nom pourrait l’avoir évoqué aux plus observateurs d’entre vous, est un jeu dans lequel vous allez devoir combattre et survivre à des hordes de monstres, de morts-vivants et autres créatures et événements horrifico-surnaturels ayant pour but de vous faire souiller votre pantalon. Ce genre est peut-être le seul dans l’univers du jeu vidéo à ne pas être identifié par rapport à son gameplay, mais par rapport à son ambiance ; d’où le fait qu’on puisse le retrouver sous les traits d’un jeu d’aventure, d’un RPG, d’un Third Action Shooter ou encore d’un FPS. A l’origine, le genre est né dans le cerveau torturé d’un français récemment récompensé par la distinction de l’Ordre des Chevaliers des Arts et des Lettres : Frédérick Raynal. Ce jeune prodige à qui l’ont doit également les deux épisodes du mythique Little Big Adventure, n’est autre que le père d’Alone in the Dark, sorti en 1992, un titre très inspiré de l’univers de Lovecraft nous mettant dans la peau d’Edward Carnby (ou Emily Hartwood, au choix) enfermé dans un manoir hanté alors qu’il enquêtait sur un étrange suicide. Outre le fait qu’Alone fut le premier Survival Horror, il fut également l’un des premiers jeux à proposer des personnages en 3D (En polygones pour être plus précis) dans des environnements pré-calculés aux fameux plans fixes qu’on retrouvera quelques années plus tard dans la série des Resident Evil et de nombreux autres Survival. En fait, lorsqu’on dit qu’Alone in the Dark fut le tout premier du genre, ce n’est pas tout à fait vrai puisque en 1986 Ubisoft édita Zombi, une adaptation du film presque éponyme (avec un e en sus) de George A.Romero. Le soft reprenait la trame scénaristique du long métrage et nous faisait jongler entre les quatre personnages principaux pour inspecter la galerie commerciale infestée de morts vivants. On pourrait également citer The Lurking Horror publié par Infocom, un jeu entièrement textuel contant l’histoire d’un jeune étudiant pris au piège par une tempête de neige dans une sorte de laboratoire de la mort qui fout les choquottes. Le titre fut sorti sur les dinosaures Apple II, Atari ST et Commodore 64 en 1987, ainsi que sur Amiga quelques mois plus tard dans une version bénéficiant, elle, d’une bande son (chouchou du prof !). Enfin bref, j’en ai sûrement oublié encore un ou deux complètement méconnus et sortis d’on ne sait où - Sweat Home en 89, RPG édité par Capcom qui serait, selon la légende, la véritable influence de Resident Evil ; j’aime bien étaler ma culture -, alors pour faire simple on continuera de penser que le genre est né avec Alone in the Dark. En plus, le jeu étant français, on peut hurler au monde notre chauvinisme outrancier et introniser Frédérick Raynal comme une sorte de Zizou du jeu vidéo qui aurait mis un gros coup de boule à Shinji Mikami, le créateur de Biohazard (Plus connu chez nous sous le nom de Resident Evil). Ça ne change rien au fait que la série japonaise a mis, par la suite, la fessée à la série française, mais ça défoule…

La rafle nippone

Suite au départ de Frédérick Raynal et son équipe, Alone in the Dark va sombrer petit à petit dans la médiocrité (malgré un sursaut d’orgueil avec The New Nightmare, le dernier épisode en date) et se faire voler la vedette par deux séries japonaises devenues cultes : Resident Evil et Silent Hill. Le premier, leader incontestable et incontesté, met en scène une ville, Racoon City, infesté de morts vivants et autres mutants suite à des tests de virus orchestrés par une mystérieuse multinationale baptisée Umbrella. Bien plus gore et orienté action qu’Alone, la série va très vite rencontrer un succès international et devenir LA référence pour de nombreux joueurs. Malheureusement, après deux très bons épisodes, elle va sombrer elle aussi dans la platitude au travers de multiples suites et dérivés sans réelle saveur, incapables de se renouveler tant dans leur scénario que dans leur gameplay. Cette décrépitude n’aura de cesse de s’accroître jusqu’en 2005 et la sortie de Resident Evil 4, qui marquera un tournant dans l’histoire du Survival. Aux cotés du titre de Capcom, une autre série japonaise va voir le jour en 1999 et lui mener une lutte sans merci, c’est Silent Hill. A l’instar de Resident Evil, Silent Hill se veut plus orienté action que son ancêtre français mais moins que son homologue de chez Capcom, préférant jouer sur l’angoisse et l’anticipation plus que sur la débauche d’effets gore et les fusillades de zombies. Coté réalisation, le titre de Konami propose des graphismes, un design et des effets bien plus évolués et matures que Resident Evil, ce qui lui amène le soutien de nombreux gamers totalement voués à sa cause. Les deux séries vont enchaîner les épisodes les uns après les autres, s’appuyant sur leurs bases et s’endormant sur leurs lauriers acquis dès leurs débuts. Le premier à réagir sera Silent Hill qui, dans son quatrième épisode, The Room, va bousculer ses habitudes et repousser les limites du survival. Or, si les idées de cet opus sont bonnes et nombreuses, leurs applications laissent un peu à désirer et nous laissent sur notre faim. Résultat, la révolution attendue du genre n’aura pas lieu, du moins pas avec Silent Hill. Au-delà de ces deux titres stars, quelques autres vont graviter dans l’univers du Survival et tirer plus ou moins leur épingle du jeu. C’est le cas par exemple de Project Zero de Tecmo, d’Obscure d’Hydravision ou encore de Clock Tower de Capcom. Le premier, Project Zero, met en scène une jeune fille partie à la recherche de son petit frère dans un manoir hanté. Jouant beaucoup sur l’ambiance, armée seulement d’un appareil photo pouvant traquer les sceptres, Project Zero amène un peu de poésie dans le genre, loin des gunfights et des envolées d’hémoglobine et organes en tous genres. Le second, Obscure, réalisé par les français d’Hydravision nous renvoie directement aux slashers movies pour teenagers et plus spécifiquement au film The Faculty. Dans ce titre où des lycéens ayant perdu la trace d’un de leurs potes, se laissent enfermer dans un lycée qui, la nuit venue dévoile ses secrets macabres, la grande nouveauté tient surtout au fait que l’aventure nous permet de choisir parmi 5 adolescents à diriger, chacun ayant ses propres capacités. Si l’un d’eux meurt, l’aventure pourra toujours se continuer avec les survivants restants. Une idée originale qui permet au soft de s’en sortir avec les honneurs malgré son classicisme. Un autre point fort du jeu tient dans son coté énigme très « point & click » qui lui permet, par moment, de sortir des sentiers battus. Dommage que les développeurs n’aient pas poussé l’idée un peu plus loin encore. Enfin le dernier, Clock Tower, met lui aussi en scène une jeune fille prisonnière d’une tour hantée. Ici, la grande idée tient au fait que là encore aucune arme ne vous permettra d’envoyer ad patrès les créatures rencontrées, vous obligeant à fuir et à vous cacher à chaque apparition surnaturelle.

Et Resident Evil 4 fut

Puis c’est l’avénement/événement Resident Evil 4 ! Sorti curieusement en exclusivité temporaire sur GameCube en mars 2005, cet épisode va bluffer tout le monde en proposant une qualité graphique jamais atteinte dans la série et un gameplay résolument action. Mais c’est surtout l’utilisation de la vue caméra à l’épaule qui va complètement bousculer les mentalités. Exit les vues fixes plongeantes utilisées pour renforcer le coté voyeur et place à l’immersion pour un meilleur ressenti des scènes traversées. Cet épisode prend le survival-horror à rebrousse poil et va complètement changer la donne, insufflant un vent de folie sur l’industrie du jeu vidéo qui, à partir de ce moment, va rivaliser d’idées novatrices pour relancer le genre. Les premiers à s’illustrer seront les français de Darkworks, bien décidés à faire de la France le nouveau porte-étendard d’un genre qu’elle a mis au monde. Cold Fear va donc voir le jour, mélangeant les plans fixes et la caméra à l’épaule. Mais la force de ce titre est ailleurs, dans sa gestion de l’interactivité avec le décor. En effet, seul sur un bateau perdu en pleine tempête, notre héros va devoir composer avec le roulis provoqué par la mer pour éliminer ses ennemis, tout en essayant, autant que faire se peut, de ne pas partir à la baille. Dans un autre genre d’idées, le joueur aura très souvent le choix de sa technique d’approche, attaquant de front tout ce qui bouge, cherchant à utiliser le décor pour électrocuter, brûler ou écraser ses ennemis voire même en laissant lâchement vos ennemis s’affronter avant de « prendre le vainqueur ». Bref, Cold Fear avait tout de la bombe vidéoludique, malheureusement un scénario trop conventionnel, une durée de vie trop limite et un plaisir de jeu qui s’essouffle passé la moitié de l’aventure auront eu raison de ses meilleurs intentions. Mais les idées sont là et c’est bien le principal. S’en suit Call of Cthulhu : Dark Corners of the Earth, adapté du Cauchemar d’Innsmouth, l’une des plus populaires nouvelles de Lovecraft. Ce FPS très moyen va tout de même lui aussi apporter sa pierre à l’édifice en proposant deux caractéristiques jamais vues dans l’histoire du jeu vidéo : La gestion des blessures physiques et de la santé mentale du héros. En effet, atteint de vertige et de claustrophobie, le joueur va devoir s’arranger tout au long de l’aventure avec différents effets spéciaux altérants la vision, l’écran se brouillant dangereusement lorsqu’on évolue à plusieurs mètres au dessus du sol, la respiration se faisant de plus en plus suffocante au fur et à mesure que l’horreur prend forme. Le titre ira même jusqu’à proposer une interface novatrice pour soigner les blessures physiques, nous obligeant à pratiquer des interventions médicales spécifiques en fonction des dommages subis ; piqûre de morphine pour supporter la douleur, atèles pour soigner les membres brisés ou fêlés, bref jamais un jeu vidéo n’aura poussé aussi loin cette partie bien spécifique et, à ce jour, aucun n’a proposé quelque chose d’aussi réaliste, novateur et prenant que cette méthode. L’autre point fort du jeu d’Headfirst, c’est son ambiance haletante et oppressante et, à elle seule, la scène intitulée « L’attaque des hommes poissons », vaut son pesant de cacahuètes et l’achat d’un tel soft. Malheureusement, si la partie typiquement Survival-Horror est des plus réussie, la partie FPS quant à elle est complètement ratée. Là encore donc, de hit théorique, on sombre dans le gâchis pur et simple. Puis enfin, c’est la tuerie de Monolith, Condemned : Criminal Origins, sorti sur PC et Xbox 360 au début de l’année. Même si ses détracteurs lui reprocheront son coté quelque peu dirigiste, ce titre donnant la part belle aux combats au corps à corps d’une violence inouïe, redéfinit clairement l’horreur avec son coté immersif à couper le souffle du à sa vue FPS, sa bande son ultra flippante et un scénario digne des meilleurs films d’horreur.

Où tout ça nous mène ?

Cet élan de créativité dans le genre ne semble pas prêt de s’arrêter, et on ne viendra pas s’en plaindre. A l’heure actuelle, quatre jeux annoncés peuvent porter l’étiquette de Survival-Horror : Resident Evil 5, Alone in the Dark : Near Death Investigation, Bioshock et Alan Wake. Les quatre étant sur le papier, de grosses tueries en perspective et apportant des éléments nouveaux qui, vous pouvez en être certains, révolutionneront d’avantage ce style de jeu.
Si on ne sait pas encore grand chose de Resident Evil 5, celui-ci fait déjà parler de lui par ses graphismes exceptionnels – les développeurs disent avoir modélisé individuellement chaque poil de la barbe du héros – et le fait que l’aventure se déroulerait en grande partie au soleil, dans le désert. De mémoire de joueur, jamais un Survival n’avait eu l’audace de se priver du sacro-saint symbole que représente l’obscurité dans un film/jeu à l’ambiance horrifique.
Alone in the Dark : Near Death Investigation annonce le grand retour d’Edward Carnby et surfera sur la mode des séries télévisées américaines en proposant une aventure découpée en épisodes – avec un previously à chaque début de chapitre – et des prochaines suites déclinées en terme de « saison ».
Alan Wake, des pères du cultissime Max Payne, s’éloignera du principe même du Survival-Horror, préférant le terme de Thriller Psychologique. Cependant le surnaturel aura la part belle dans cette nouvelle aventure et le titre semble reprendre également les principes de gameplay du genre. Au-delà de cette notion de Thriller Psychologique, méritant à elle seule de l’intérêt, Alan Wake suscite l’engouement de tous pour ses graphismes et son moteur physique tout simplement renversants.
Enfin the last, but not least, Bioshock, développé par le studio à l’origine de l’un des plus grands FPS de tous les temps : System Shock. Cette fois-ci l’aventure nous placera dans une cité sous-marine plus-glauque-tu-meurs, entouré d’enfants plus étranges les uns que les autres protégés par des monstres-scaphandriers au design très inspiré. Ce FPS horrifique devrait mélanger les genre en incluant dans son gameplay des automatismes du survival et des caractéristiques propres au RPG qui ont déjà été utilisées avec succès dans les jeux cultes que sont Systeme Shock ou encore Deus Ex
Tel que c’est parti, et en espérant que ça ne s’arrête pas, les limites du Survival-Horror semblent ne plus être définies et nous laisse rêveur quant à ses futurs représentants. Les développeurs rivalisent de créativité, les mélanges de genres se multiplient, les scénarios s’étoffent et n’ont plus rien à envier au cinéma et bien sûr, les graphismes toujours plus sublimes permettent aux studios de développement de rendre les ambiances oppressantes encore plus palpables. Va falloir faire le plein de calbutes !
tiré de http://www.xbox-attitude.com/articlesaffichage-189-Gros-Plan-sur-le-Survival-Horror.html

et moi je reviens plus tard avec mes impressions, mes larmes, mes pseudo crises cardiaques sur chaque jeu !!!
++

Je suis fan de SURVIVAL HORROR
mes préférés sont:
Resident Evil (tous )
Silent Hill (tous lol)

Pour ce qui est de remplir la liste, je n'en rajouterai qu'un:
Haunting Ground

connait pas sorry, tu nous fera un petit topo alors!!!

moi, j'ai connu ce genre avec mon cousin qui jouait à resident evil 2, moi je sursautais à chaque fois que j'apercevais un zombie qui allait me sauter dessus alors que mon cousin, un peu plus grand que moi, jouait comme si de rien n'était, lui ce qu'il voulait c'était bouffer du zombie!!!

puis dans joypad, j'ai vu l'article sur Silent hill, j'ai adoré l'histoire, et voyant que je réusisais à finir la démo filée avec le bouquin, je me suis dis: va au super u du coin et achète le!!!!!
en regardant le boitier mon père a vu que ça avait été interdit au moins de 18 ans en allemagne, il m'a dit: t'es sure de toi???
moi j'ai dit WII!!!!

et là, mon cauchemard a commencé....
je ne pouvais jouer que par session de 5 min, tellment j'étais au bord de la crise cardiaque!!!! :pale:
et oui, la musique m'oppressait!!! c'est vrai que ds ce genre de jeu, c'est le principal, c'est ce qui crée l'ambiance!!!
ma mère me disait: "coupe le son"
mais je pouvais pas car ta besoin d'entendre ta radio car elle te préviens de l'approche des monstres!! et quels monstres!!! pire que d zombies!!! ça ressemble à rien, et ces infirmières qui jouissent quand tu les frappe!!!!!
au fait, as tu compris la fin du jeu????
moi ça ma laissé "sur ma fin"^^
j'ai pas tout saisi... tout comme la fin du film d'ailleurs!!!
bon, je vous laisse, et je reviens avec mes impressions sur RE3 etc...

me revoilou et je me permet de changer de fenêtre pour pas que ça fasse trop long^^
alors je viens de me rendre compte que je n'avais pas parlé de l'histoire de Silent hill pour ceux qui connaissent pas donc voilou un petit qqch:
tiré de Wikipédia:
Silent Hill est un jeu d'action/aventure de type survival horror développé par Konami CE Tokyo et sorti en 1999 sur PlayStation. Le jeu est réputé pour avoir révolutionné le jeu vidéo d'horreur.

Dans la lignée des survival horror tels que les célèbres Resident Evil, Silent Hill possède une vraie dimension cinématographique, souvent jugées plus aboutie que ses prédécesseurs. Ceci est notamment dû aux musiques et bruitages d'une qualité remarquable, à une mise en scène ingénieuse (positionnement des caméras, textures des décors...) et à un scénario très alambiqué (on pensera à certains films de David Lynch, L'Échelle de Jacob d'Adrian Lyne (auquel il a emprunté un bon nombre d'éléments visuels), H. P. Lovecraft...). Les thèmes abordés dans ce jeu concernent principalement Dieu et la folie, mais également les plus noires passions et pulsions humaines. Silent Hill est de ce point de vue un des jeux vidéos les plus psychologiques. De plus, les réalisateurs n'ont pas hésité, pour déranger davantage le joueur, à créer un monde alternatif à la limite du supportable tant celui-ci est malsain et pesant.

le scénario:
Depuis que le développement économique de Silent Hill, station balnéaire reculée, a atteint sa maturité, la population est en proie à une triste apathie. Sentiment d’autant plus fort que le tragique incendie survenu sept ans auparavant hante toujours les mémoires. C’est la fin de l’été et la majorité des touristes ont quitté la station. On pourrait presque croire à une ville fantôme. Harry Mason a besoin de calme et de repos, c’est pour cette raison qu’il a choisi de prendre ces quelques jours de vacances avec sa petite fille Cheryl, ici, loin de l’agitation estivale.

Le trajet vers Silent Hill est long, les routes, sinueuses et escarpées, sont un supplice pour les voitures. Harry conduit prudemment mais un pépin mécanique le contraint à s’arrêter dans une petite station service d’où il ne repart qu'à la nuit tombée. Cheryl s’est endormie, un livre d’image sur les genoux. Harry pose un doux regard sur sa fille, anticipant l’agréable séjour qui les attend. Soudain le vrombissement d’un moteur déchire la nuit, un motard de la police les rattrape, les dépasse et disparaît aussitôt, au loin, dans les ténèbres de la nuit. Harry secoue la tête et jette un bref regard vers sa fille. Elle ne s’est pas réveillée. Un timide sourire se dessine sur son visage ; l’insouciance de la jeunesse soupire t-il. Tout à ses pensées, il ne voit que trop tard la moto couchée sur le bas côté. À peine tourne t-il la tête vers elle que les phares de son véhicule illuminent une silhouette devant lui. Comprenant avec horreur qu’il n’aura pas le temps de freiner il tourne violemment le volant pour se déporter sur la droite. Mais sa manœuvre est trop brusque. Dans un crissement de pneu il quitte la route. Avec l’énergie du désespoir il tente de redresser sa voiture, sans succès. Il plonge dans l’épaisse végétation qui borde la chaussée. Le choc est violent. Lorsque la voiture s’arrête, Harry a depuis longtemps perdu connaissance...

Quand il reprend ses esprits, son premier regard est pour le siège du passager. Vide ! Cheryl a disparu. Submergé par la panique Harry s’extirpe de la carcasse de son véhicule avec une seule idée en tête : retrouver Cheryl. À l’extérieur il est frappé par un froid glacial. Un épais brouillard, traversé par de gros flocons de neige, recouvre la ville. La ville ? Harry tente de se remémorer l’accident, en vain. Pourtant il est certain de n’être jamais arrivé à Silent Hill ? Cheryl, CHERYL, CHERYLLLL !!!!! Son cri résonne dans la ville mais reste sans réponse. Harry cherche de l’aide des yeux mais la ville semble déserte. Où sont les habitants, que se passe t-il et où est partie Cheryl ?

Un nouveau courant du Survival-Horror
L'arrivée de Silent Hill sur PlayStation marque également la naissance d'un nouveau courant pour le genre Survival-Horror. Jusqu'à présent, ce type de jeux était représenté par Resident Evil et qui s'axait essentiellement autour de l'action. Silent Hill a ainsi apporté une dimension plus psychologique qui mise d'abord sur les émotions et la psychanalyse (Freud). Cette mise en scène des émotions est dû en très grande partie à la réalisation très cinématographique du jeu et aux aspirations ésotérique du scénario. De la musique aux cadrages en passant par la bande-sonore, toute la partie technique (même si elle accuse quelques défauts) contribue grandement à cette sensation de vulnérabilité ambiante et donc à la peur pure et simple. On se rappelera d'ailleurs du slogan de la publicité de l'époque : "Quand même la mort n'est plus une issue".
La version américaine présente une petite différence avec les versions Japonaises et européennes. Ainsi dans la version US du jeu, on peut affronter des enfants zombies dans une école déserte... ce qui n'est pas le cas dans les deux autres versions ! Cette censure s'explique en grande partie par le problème de la moralité car ces scènes sont très choquantes et parmi les plus violentes psychologiquement puisqu'il vous faut frapper ces écoliers-zombies. Ces enfants-zombies ont toutefois été intégrés dans l'adaptation cinématographique du jeu.

SILENT HILL:LE FILM
site officiel:
http://www.sonypictures.com/homevideo/silenthill/index.html
(attention ça fait peur!!)
Le film Silent Hill adapté du jeu éponyme est sorti le 26 avril 2006 en France. Il a été réalisé par Christophe Gans (réalisateur du Pacte des loups et de Crying Freeman)le scénario ce base sur le premier silent hill en allant chercher certain élément estétique du 2.

vous trouverez d'autres jeux silent hill , tout aussi gores et effrayants, donc âme sensible s'abstenir!!!! :face:
voici un site bien sympa pour les plus courageux:
http://www.psychic-silenthill.com/1024fr/acceuil.htm

je me ferai un plaisir de faire un topo sur SH 2, 3 et4 pour ceux que ça interressent!!

J'ai moyennement saisi le lien entre Survival et RPG mais pourquoi pas XD

Sinon pour ma part, les survival, c'est non, j'ai testé SH3 et j'ai tellement flippé que je me suis arreté au bout d'1 heure...

Leyayanami~~> Moi ca m'intéresse le topo sur SH 2, 3 et 4 sinon, je ne vois pas ce que tu n'as pas compris pour la fin du jeu dis-moi ce que tu n'as pas compris et je t'expliquerai moi, j'adore ce jeu, justement parce qu'il faut combattre ses propres peurs en même temps de jouer

Shinryu~~> C'est vrai que c'est flippant, mais c'est justement ca qui est génial mais c'est vrai que lorsque je jouais dans le noir, avec mon amie, j'ai vraiment flippé le 4 est un des volets de Silent Hill qui m'a fait le plus peur

merci de m'avoir expliqué!!!!!!!!!!!

désolée pr les abscences ms je suis en pleine période d'exam!!!!!!!!

j'ai adoré RE4 sur game cube, une perle, vraiment, je l'ai fini en 2 semaines par contre j'ai pas aimé les autres RE, la jouabilité était vraiment trop mauvaise

c'est surtout RE1 qui était difficile!!
le 4 est bien flippant!!! j'adore!!!!!!!!!!

J'ai adoré tous les Resident Evil mais le 1 et le 4 sur Game Cube, sont mes favoris c'est vrai que le 1er est très flippant

RE 4 est vraiment génial au niveau graphisme et scénario et Léon est trop miam miam lol dès l'annonce dans nintendo mag ça annonçait d'être une merveille

est-ce qu'on aura RE 5 sur la wii?
je suis en manque de jeux vidéos en ce moment...

Tsukiko a écrit:

RE 4 est vraiment génial au niveau graphisme et scénario et Léon est trop miam miam lol dès l'annonce dans nintendo mag ça annonçait d'être une merveille

est-ce qu'on aura RE 5 sur la wii?
je suis en manque de jeux vidéos en ce moment...

C'est vrai que Léon est.. KYAAAAAAAHH lol mais pour le RE 5 sur Wii, il vont d'abord ressortir le 4 sur Wii, je pense, après, on verra

s'ils ressorten RE4 sur wii il est possible que je me jette dessus (enfin seulement si c'est le même que sur GC..., on m'avait prêté la version GC) ça doit être génial la visée avec la wiimote dans RE j'en rêvais, ce serait énial si ils le font





Aaah Léon, avec son t-shirt moulant ses muscles et son regard sombre maw maw maw ...